Construction traditionnelle du Val de Loire (CTVL)
La société CTVL a été placée en redressement judiciaire par un jugement du Tribunal de Commerce d'ORLÉANS en date du 21 mars 2016.
Le 1 mars 2016
Nous recevons beaucoup plus de dossiers d'adhésion qu'habituellement de clients de CTVL qui nous font part d'abandon de chantier, de retard, et de malfaçons. Nous mettons donc en garde les consommateurs qui souhaiteraient contracter avec cette société.
Dans un des derniers dossiers, même la révision des prix favorable au maître d'ouvrage n'avait pas été appliquée soit un préjudice de près de 1.000 €.
Le 7 octobre 2015
On ne peut pas dire que ça se passe très bien
http://essonneinfo.fr/91-essonne-info/83902/contre-labandon-de-chantier-victoire-dune-dizaine-de-proprietaires/
Le 1er juillet 2015
Nous apprenons que la société CTVL a été déclarée coupable du délit de perception anticipée de fonds ou d'effets par un constructeur de maison individuelle et a été condamnée par la chambre correctionnelle du tribunal de Grande Instance d'Orléans le 19 mai 2015 à une amende de 1.000 € assortie du sursis simple et à 800 € de dommages et intérêt aux parties civiles.
Le 12 septembre 2014
Nous avions constaté une dérive de la procédure de contractualisation dans la société CTVL qui nous avait amené à mettre en garde nos lecteurs. Cette société nous a fait savoir qu'elle c'était séparée de ces collaborateurs indélicats.
Nous l'avions remercié de cette réaction en rappelant néanmoins qu'il reste encore des progrès à faire et a assumer les litiges qui surviendraient à la suite de signature de contrat prématurées.
Nous ne savons si cela fait suite aux démélés judiciaires qu'elle a eu avec la société MAISONS PIERRE pour lesquels elle a été sérieusement condamnée, et qui pourrait mettre à mal sa trésorerie, mais nous avons des échos très décevants ces derniers temps.
Jusqu'à ce dossier que nous recevons et qui lui vaut un article dans la rubrique "ils abusent". Parce que là, il est insupportable qu'un constructeur de cette taille commence à violer les droits les plus élémentaires de protection des consommateurs [Voir l'article].
Ce déni de droit vaut immédiatement une plongée sans appel dans la catégorie "constructeur à éviter" car il s'agit sans nul doute d'une des fautes les plus graves que nous ayons rencontré.