Un dossier GEOXIA (MAISONS PHENIX) exemplaire
Le 30 mars 2007 Mme LOCATELLI signe un contrat de construction de maisons individuelle avec la société GEOXIA RHONE-ALPES, qui lui présente cette convention en toute illégalité, puisque le vendeur de terrain n'a même pas encore le droit de le commercialiser.
Pire encore, MAISONS PHENIX lui proposait un contrat pour lequel elle n'a fait ni étude de sol, ni étude béton, ce qu'elle considère comme une justification valable de son retard dans ses courriers à l'avocat du consommateur, alors que c'est une violation manifeste des obligations des constructeurs qui doivent, à la signature du contrat, avoir prévu toutes les adaptations au sol (Code de la construction et de l'habitation).
Elle en rajoute encore en faisant signer un avenant de plus value qui contrevient aux dispositions légales et en outre, lui en réclame le paiement séparément du contrat, ce qui relève carément du tribunal correctionnel puisque cela peut valoir à son auteur une peine d'emprisonnement de 2 ans et une amende de 9.000 euros.
Aujourd'hui, seuls les murs du soubassement et la dalle font une verrue dans le paysage...
Ces graves négligences ont plongé Mme LOCATELLI dans une détresse financière terrible puisque les retards accumulés vont rendre le crédit relais insupportable.
Le CREDIT FONCIER, qui a émis une offre de prêt illicite au regard de ses obligations de contrôle qu'il n'a pas, ou mal, exercé, va tout naturellement se montrer très compréhensif en poursuivant Mme LOCATELLI afin de réclamer le remboursement intégral du prêt, outre les intérêts pour enfoncer un peu plus notre adhérente dans la détresse. Pour faire bonne mesure il sollicite une inscription d'hypothèque judiciaire sur l'ancienne maison de Mme LOCATELLI qui a été tellement paniquée de voir débarquer un huissier qu'elle a précipitemment déménagé et mis en vente sa maison.
Pour en rajouter, l'agence qui leur a vendu le terrain, agence PILAT IMMOBILIER à Pelussin, se permet de le remettre en vente, et de le proposer sur internet alors qu'il appartient encore en pleine propriété à Mme LOCATELLI au terme d'un acte de vente.
Bravo, mais alors bravo, à tous ces intervenants de s'en prendre à une femme seule et sans moyen financier. Que la honte étouffe ceux qui ont conduit notre adhérente dans cette situation... Mais que ces responsables prennent en compte que nous sommes derrière elle et que désormais nous allons suivre ce dossier de façon attentive.