Deux adhérents - deux procédures judiciaires dont au moins une pour faire dénoncer les graves anomalies dans la formation du contrat et faire détruire la construction.

N'hésitez pas à solliciter notre maison "contre témoin"

Mise à jour le 19 décembre 2009

Attaque en diffamation un de nos adhérents qui a osé se plaindre sur des forums public et se fait débouter.

Se fait également débouter de son action en paiement contre notre adhérent par le TGI de Draguignan qui déclare le contrat de la SOTRAPIM non conforme aux dispositions légales.

Dans ses dernière écritures devant la cour d'appel, la société SOTRAPIM indique à propos des peintures qu'elle avait omit de chiffrer dans la dernière colonne alors qu'elle les avait laissées à la charge du constructeur que "La conséquence de cette omission, minime quand à ses conséquences, pouvait parfaitement en être que la société SOTRAPIM prenne à sa charge la réalisation de ces peintures".

Dès lors, prenant acte que la réalisation des peintures intérieures et extérieure est un acte "minime", nous proposons à tout client de la société SOTRAPIM dans lesquels les peintures ne seraient pas chiffrées d'en réclamer la réalisation par elle qui les réalisera probablement sans discuter. Pour être juste, il s'agit bien sur des contrats signés a/c de l'année 2008 à partir de laquelle elle ne pouvait plus ignorer ses obligations légales de constructeurs qui lui étaient rappelée dans la procédure judiciaire.